28 juillet 2007
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ameublement
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C'est une charpente en bois qui vient étayer la voute en pierres et maçonnerie d'un vieil aqueduc accablé d'ans et d'outrages; (photos Anna CARDIER, tel/fax 05 90 26 71 08)
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architecture-urbanisme
28 juillet 2007
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Il faut bien le reconnaître, l'armoire est une espèce en voie de disparition, remplacée par les placards intégrés et autres "dressings". La seule justification à une armoire, aujourd'hui, c'est l'esthétique; l'horrible armoire à glaces disparue ne m'arrachera aucune larme, j'irai plutôt danser sur son cercueil: c'était le comble du mauvais goût. Voici donc une armoire qui concilie une esthétique originale avec sa forme trapézoïdale , le relief de sa façade, et la beauté de son bois, avec une fonctionnalité certaine puisqu' elle intègre une penderie et une commode; il existe aussi dans la même collection, des lits,des chevets, etc...
mobilis en Guadeloupe
1685 rue Henri Becquerel 97122 JARRY
05 90 26 70 23 mobilis-gpe@orange.fr
photos mobilis: mobilis-gpe@orange.fr
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ameublement
27 juillet 2007
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C'est le terme le plus général pour désigner ce que nous appelons ici des ESSENTES; l'usage en est très largement répandu, et principalement dans les régions riches en forêts, pour la couverture des toits et des parois extérieures en bois. En témoigne l'extrême diversité de termes utilisés pour désigner le même produit: Aisseau, Aissainte, Essente, Shingle etc... Sur le plan etymologique, il y a , à l'origine, le mot" AIS", du latin AXIS désignant une planchette de bois utilisée en reliure, d'où : AISSEAU , AISSAINTES ... et ESSENTE qui devrait logiquement s'écrire AISSANTE.
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architecture-urbanisme
27 juillet 2007
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12:18
C'est le terme utilisé dans un acte notarié de 1840 pour désigner ces planchettes de bois d'environ 45x10 cm, épaisseur de 1 à 1,5 cm , qui remplaçaient, dans les premiers temps de la construction aux Antilles, les tuiles ou ardoises rares et chères pour la couverture des toits. Le zinc et la tôle firent leur apparition en guadeloupe à la fin des années 1830, soit moins de 10 ans après la généralisation de leur emploi à Paris. L'emploi des essentes pour la couverture des toits perdura ici jusque dans les années 1940.Ces essentes étaient fabriquées à l'origine dans des "bois pays" - Poirier, Acajou rouge, bois d'agouti - puis importées des Etats -Unis. Pour approfondir le sujet, reportez vous au livre: "BASSE-TERRE, Patrimoine d'une ville antillaise" qui est riche d'enseignements sur le patrimoine;(Editions JASOR)
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littérature
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Ici utilisées en couverture de parois extérieures en planches de bois;(photos Anna CARDIER)
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architecture-urbanisme
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sculpture
27 juillet 2007
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architecture-urbanisme
27 juillet 2007
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art de vivre
26 juillet 2007
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photos Anna CARDIER
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architecture-urbanisme